Avant de vous livrer le classement de nos films préférés de 2016, on avait envie de faire un petit retour sur les pires choses qu’on ait vu au cinéma cette année. Enfin les pires oui mais aussi les films qu’on attendait et qui nous auront beaucoup déçus. Petit flashback sur une année où se sont croisés grands films et merveilleux navets.
10. Les 8 salopards
Première grosse attente de 2016 et première immense déception. Bavard, poussif, ces 8 salopards de Tarantino nous auront laissé complètement sur le carreau. Egalement élu première sieste de l’année au ciné !
9. Insaisissables 2
Si le premier avait été une belle surprise, le deuxième ressemblera à une suite faignante. Rien de neuf du côté des magiciens, pire encore, l’histoire se perd dans ses différents tours et on finit par décrocher sévèrement. On prie pour qu’un troisième opus ne voit pas le jour.
8. Independence Day Resurgence
Si Independance Day avait fait le bonheur de nos années collège, la suite 20 ans plus tard nous aura presque fâché avec la saga. Fade et sans âme ce Independance Day Resurgence n’a pas grand chose dans le ventre. Même le fan service ne sauve pas l’affaire…
7. Un homme à la hauteur
Un des moments les plus gênants de l’année. La mauvaise idée ? Prendre Jean Dujardin et nous faire croire qu’il est une personne de petite taille. Maladroit parfois grossier, Cet homme à la hauteur porte mal son nom. Heureusement, Virginie Effira est là pour nous faire oublier ce gros fiasco.
6. Rosalie Blum
Dans la série des films français plein d’ambitions mais râtés voici Rosalie Blum. Casting intéressant sur le papier, adaptation d’une BD, sujet ulta-prometteur… Oui mais voilà, il manque tout le reste. Comme si le film était passé à côté de son histoire. On s’ennuie et on s’impatiente. On s’enerve aussi : on tenait là une pépite d’or si seulement un vrai réalisateur l’avait porté…
5. Danish Girl
C’est comme une petite tradition : les films avec Eddie Redmayne se retrouve chaque année dans notre flop… Après avoir joué les handicapés, le voilà à cabotiner dans la peau de la première personne à avoir subi une chirurgie de réattribution sexuelle. Rien ne va dans ce mélo trop propré qui ne prend aucun risque. Seule consolation : Alicia Vikander absolument merveilleuse une fois encore.
4. The Neon Demon
Définitivement le cinéma de Nicolas Winding Refn n’est plus pour nous. Son Neon Demon est indigeste, innaccessible, incompréhensible et sans intérêt. Sans doute l’un des plus insoutenables écrans de l’année…
3. Cezanne et moi
Dans la famille des mauvaises idées, voici Cézanne et moi ou l’histoire méconnu de l’amitié entre Cézanne et Zola. En plus de devoir supporter des faux accents aixois, il faut subir la mise en scène viellotte de Danièle Thompson. Une sorte de téléfilm de luxe pour TF1. Aucun intérêt.
2. A Bigger Splash
Décidément l’année 2016 nous aura proposé son lot de remake pas toujours nécessaire. La preuve la plus flagrante : A Bigger Splash ou la version 2016 de La Piscine. Inutilement perché, ce mélo agace de minute en minute. On replonge avec Jacques Deray quand il veut mais on oublie illico A Bigger Splash.
1. A fond
Pour la petite histoire, sachez qu’on aurait jamais dû voir ce film. On a tendance à fuir toute comédie avec José Garcia en tête d’affiche. Malheureusement pour nous, c’était le film “surprise” de la soirée abonnés Gaumont. On a tenu 45 minutes devant ce spectacle affligeant. Rien mais alors rien à sauver. Le pire film français depuis Asterix et Obélix aux Jeux Olympiques.